Une nouvelle année radiophonique

L'année qui s'est écoulée aura été riche en contenu, mais aussi riche de sens et de découverte musicale. On ne fait jamais de la radio pour rien, il existe quelque chose qui fait vibrer les cœurs. En effet, en partant sur Isekai Online et en même temps sur Radio Progrès, j'ai pu sentir la bonne vibration de l'orchestration d'une émission nommée : "Le duplex".

Au départ, je pensais que ce serait un échec comme cela a été le cas sur des radios amateurs au travers desquels je suis passé où l'autoritarisme y régnait et j'ai fini pas claquer la porte. On a pas de compte à rendre sur du bénévolat, car on y gagne rien d'un point de vue pécunier. Pourtant, ces deux malheureuses expériences se traduisent également par le fait d'imposer le bénévolat au travail rémunéré faisant bouillir la marmite. Au travers de Music Média 78 et anciennement de Musique Passion Radio, je crois que la messe est dite. Je me souviens très bien des problèmes d'hardware au travers du logiciel de diffusion, le mien n'était pas compatible avec son logiciel. Franchement, cela ne pouvait pas marcher et il a fallu bricoler des solutions dans l'urgence sous l'œil du grand manitou.

Si la qualité est à la recherche d'audience au travers d'un certain nombre, il en demeure que les manières de faire n'ont rien à voir avec ceux qui font vivre les webradio en France et ailleurs. Certes, j'ai l'impression à bien des égards de régler mes comptes.

Pourtant, le bénévolat recherché se passe d'un ton autoritaire comme si finalement, le collectif passait par un culte de sa personne. Désolé, mais le bénévolat se réalise sur un temps libre et en l'occurrence, la question rémunératrice prendra toujours le dessus. En effet, ce fut la semaine où je reprenais le chemin du travail pour financer mon projet radiophonique. Sa haine, son mépris en disait long tout comme du bord politique sur lequel il se situait. Nous n'avons pas élevé les vaches ensembles, lui c'était plutôt des cochons dans sa porcherie.

L'idée s'avérait de créer une émission en direct essentiellement basée sur la diffusion d'un ensemble de morceaux de musique dans un premier temps de minuit à six heures du matin le vendredi et le samedi. Puis en raison d'une adaptation par rapport à notre train de vie, il n'est resté que le vendredi soir et maintenant une semaine sur deux. Les statistiques apparaissent comme assez incroyables. De cette manière, l'audience s'est aussi adaptée par rapport à la reprise d'un emploi en tant qu'aide-soignant. Cela paraît saugrenu, mais il s'agit également de financer le projet radiophonique de Radio Progrès.